L’idée est de Christophe Winkelmuller, connu pour en avoir 3 par minute bien avant celle-ci et depuis, aussi.
Christophe est le fondateur de l’Agence Automobilière et son président actuel.
En 2004, il adorait déjà les voitures et les motos (belles ou anciennes) mais évoluait dans l’industrie chimique, un monde plutôt éloigné de l’automobile.
Rien ne le prédestinait à créer l’Agence Automobilière si ce n’est cette passion toujours vivace aujourd’hui :
– s’attaquer aux dysfonctionnements en refusant de les considérer comme des fatalités.
– créer des chimères, ces constructions faites de constituants théoriquement incompatibles.
Qu’est-ce qui dysfonctionne dans le marché du véhicule d’occasion ?
Le marché de la voiture d’occasion est triste car encombré de suspicions et de mensonges.
C’est ainsi depuis des décennies. il n’y a pas vraiment de raison que cela change.
Pourtant, la vente ou l’achat d’un véhicule d’occasion devrait être un événement sympa, joyeux, serein.
Celui qui vend comme celui qui achète a, la plupart du temps, l’envie d’une autre voiture, plus grande, plus récente, plus adaptée.
C’est une transaction importante qui engage un budget conséquent et des enjeux essentiels : la sécurité, la mobilité, le plaisir.
Quel marché ressemble à celui-ci ?
Le marché de l’immobilier. C’est l’achat le plus engageant des particuliers. c’est une transaction délicate qui nécessite la médiation, la compétence et l’expérience des agents immobiliers.
Et si on appliquait au véhicule d’occasion les pratiques les plus efficaces de l’immobilier ?
Voilà la chimère qui apparait et qui fonctionne parfaitement depuis le premier jour.
L’idée est de faciliter et de sécuriser la transaction entre particuliers en faisant naître la confiance entre vendeur et acheteur, sélectionnée par l’Agence Automobilière qui prendra en charge les démarches administratives et mettra en œuvre les garanties les plus adaptés à la transaction.
Les agents automobiliers n’achètent pas les véhicules pour les revendre. Ils n’ont donc pas à supporter et faire payer à leurs clients les frais de stockage et les taxes qui s’élèvent à une somme importante : de 2000 à 3000 €.
Chez nous le vendeur vend mieux (à hauteur de 1000 € environ) et l’acheteur achète (1000 € de moins environ).
Celui qui vend conserve l’usage de son véhicule jusqu’à la cession effective.
Celui qui achète évite tous les tracas de la transaction, trouve juste le plaisir de repartir, le jour dit, au volant de son acquisition.
Ce mode opératoire, effectivement très proche de la transaction immobilière qui a inspiré notre nom, ne relève donc pas des prestations des garagistes, des concessionnaires, des revendeurs.
Il est une franche amélioration du marché des véhicules d’occasion entre particuliers.
Aujourd’hui, ce marché assisté entre particuliers croît sans cesse.