Parole de franchisé : Frédérick de Vezin

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La parole à…

Fréderick, gérant de l’Agence Automobilière de Vezin

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Depuis combien de temps es-tu membre du réseau, passions à tes débuts, formation ou parcours professionnel avant l’ouverture de ton agence, et tes passions aujourd’hui ?

Je suis membre du réseau depuis janvier 2015. Je suis passionné par le secteur de la vente automobile avec une expérience dans le secteur depuis 2001. J’ai eu d’abord l’opportunité de travailler chez un concessionnaire Volkswagen Audi et d’évoluer dans différentes fonctions. J’ai commencé comme conseiller commercial et ai fini en tant qu’assistant gérant de concession.

Aujourd’hui, je suis toujours autant passionné par ce que je fais. Notre réseau a bien grandi et cela me permet de voyager un peu partout (ce que j’adore !) pour rencontrer les autres gérants. Et d’ailleurs, je suis allé faire un petit coucou à notre ami Éric de la réunion et prévois d’aller saluer notre nouveau Gérant en Corse.

 

Pourquoi as-tu rejoint l’Agence Automobilière et non une autre enseigne ?

J’ai découvert le concept l’Agence Automobilière sur Internet en 2012. Je suis tombé dessus par hasard et le concept m’a interpelé : finalement une sorte de copier/coller de l’immobilier mais dans le secteur des voitures d’occasion. J’ai trouvé cette idée simple mais incroyable car il fallait y penser.

J’ai alors appelé le réseau pour prendre des informations et l’idée est restée dans ma tête. En 2013 j’ai appelé Christophe et j’ai un peu provoqué l’opportunité, la chance et j’ai eu un RDV avec lui en décembre 2013 car rien n’existait encore au niveau de la Belgique.

Alors « pourquoi l’Agence Automobilière ? » et bien c’était surtout cette rencontre avec lui qui m’a conforté.  Et puis je trouvais que le nom de l’Agence Automobilière était une idée de génie qui m’a conquis car ce nom explique parfaitement le concept en lui-même et le métier qu’on fait.

 

Comment s’est passé le processus d’intégration au Réseau l’Agence Automobilière ?

J’ai eu l’occasion de rencontrer Christophe qui est revenu en Belgique, Philippe également qui était déjà son bras droit ainsi que Raoul qui était développeur pour la Belgique à l’époque.

Ils m’ont proposé d’entrée de jeu le rôle d’animateur réseau parce que le développeur belge n’avait pas d’agence alors le but était d’avoir le développeur et un bras droit pour celui-ci avec une agence pilote en Belgique. Je suis donc devenu directement animateur réseau ce qui m’a permis de m’intégrer rapidement, de profiter d’une formation à Sausheim et de rencontrer l’équipe.

Tout restait à faire en Belgique, c’était une nouvelle aventure pour tout le monde et un super challenge pour moi. Il fallait exploiter l’expérience depuis 2004 de l’Agence Automobilière, des outils qui étaient déjà mis en place au niveau de l’informatique mais en adaptant tout ça aux besoins du marché belge.

 

De quel accompagnement as-tu bénéficié de la part de l’Agence Automobilière ?

On m’a fait confiance dès le début. Il fallait adapter les conditions générales de la France à celles de la Belgique, ainsi que les processus d’immatriculations qui étaient différents aussi.

J’ai fait appel à un juriste, j’ai pris contact avec des plateformes de ventes et toutes les propositions pour développer ce marché ont été validé. J’avais de l’autonomie et une grande confiance. C’est primordial pour développer un nouveau pays.

 

Selon toi quelles sont les clés de succès de l’Agence Automobilière ?

Avant tout, c’est un réseau fondé sur plus de 18 années d’expérience. Le concept était visionnaire en 2004, Christophe a développé un concept qui n’existait pas, ce qui est un atout formidable. Il a une longueur d’avance par rapport aux autres et met tout en œuvre pour ne jamais la perdre.

Une autre clé de succès tient également au réseau qui est collaboratif. On a des échanges réguliers, des réunions, c’est un réseau qui structuré avec une marque qui est désormais cotée en bourse.

C’est un groupe qui évolue avec son temps et met à disposition des moyens pour la rentabilité des agences. Et bien sûr des outils informatiques « maison » toujours en évolution et à disposition du réseau que la concurrence n’a pas.

Notre présence dans différents pays renforce aussi l’image de marque. Je compare l’Agence Automobilière à un TGV qui est bien lancé et va vite mais qui s’arrête dans les petites villes ; un TGV dont les conducteurs, les équipes, gardent un état d’esprit de proximité et familiale, les franchisés se tutoient, se contactent régulièrement. Même si nous avons passé le cap des 100 agences et qu’on est plus bien plus nombreux. On a gardé une ambiance conviviale et familiale.

 

Tu as ouvert depuis 2015, comment vas-tu ? et comment se porte ton Agence ?

J’ai ouvert depuis presque 8 ans, je suis toujours d’humeur très positive. L’agence continue son développement, nous avons déménagé il y a 2 mois à Vezin près de Namur-Nord ; nous ne sommes plus à Éghezée.

J’ai engagé un collaborateur salarié avec moi ainsi qu’un stagiaire, l’équipe s’étoffe ! J’ai choisi de déménager pour des locaux plus représentatifs, beaucoup plus confortables et spacieux c’est-à-dire environ 200 m2 de bureaux avec une zone de shooting-photo intérieur afin de se professionnaliser de plus en plus. C’est tout de même l’agence pilote en Belgique alors si je veux recruter des futurs candidats, il faut que les locaux inspirent confiance et donnent envie !

 

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton travail ?

Avant tout c’est la relation humaine mais aussi la satisfaction client, aussi bien du côté acheteur que du côté vendeur, qui est très importante.

Le côté challengeant du métier me plaît beaucoup également car finalement chaque journée est différente même s’il y a une prise de mandat ou un RDV de vente, ce sont de nouveaux véhicules.
Il y a ce côté défi de se demander en combien de temps on va le vendre.

Ce qui me plaît aussi dans mon métier c’est que je suis développeur pour la Belgique ;  je dois travailler à développer le réseau et persuader de nouveaux candidats à ouvrir une agence avec nous malgré une forte concurrence de copieurs.

 

Comment vois-tu ton avenir au sein du réseau ?

Rester un bon porte-parole pour la Belgique et continuer le développement. D’ici quelques années quand je serai amené à prendre ma retraite, trouver quelqu’un qui reprendra le flambeau et continuer cette belle aventure.

 

Tu es développeur pour la Belgique. Qu’est-ce que cela t’apporte en plus ? Qu’apportes-tu au réseau ?

Avant tout c’est une satisfaction d’avoir apporté ce concept qui était totalement inconnu, en Belgique. C’était un défi de se lancer là-dedans mais que j’ai su le relever.

Ce qui est positif aussi c’est d’avoir le retour des gens sur ce qu’on fait. Le côté coaching me plaît beaucoup aussi car ça me permet de me diversifier, de déléguer certaines tâches à mes collaborateurs et de m’épanouir dans d’autres missions.

 

D’autres choses pour compléter ?

Je remercie souvent Christophe pour cette très belle opportunité et sa confiance en moi dès le départ.